Zlatan Ibrahimovic, voici le condensé de ses meilleures punchlines

On vous fait encore des cadeaux chez Score n’co dans cette période de fêtes avec un florilège des meilleures phrases de Zlatan Ibrahimovic. Le Suédois n’aime pas trop communiquer et s’adresser aux médias en général, mais quand il le fait, la star du PSG est un sacré bon client. Son égocentrisme n’a ainsi plus de limites. “Sans manquer de respect aux autres, j’aurais dû être numéro 1, 2 ,3, 4 et 5sont les derniers propos d’Ibra, quand lui est évoqué sa deuxième place au classement des meilleurs sportifs de l’histoire de la Suède (derrière Bjorn Borg) selon le quotidien suédois Dagens Nyheter.

Du Ibrahimovic dans le texte, qui a, que ce soit lors de son passage à l’Ajax, Juve, Inter, Barcelone ou Paris, toujours eu du répondant dans ses discours. La preuve en quelques phrases réparties par thème :

Pour parler sur sa personne :

Quand on lui parle de son passage (raté) au FC Barcelone : “J’étais une Ferrari conduite comme une Fiat”.

Quand il se prend pour un professeur de géographie : “Je suis le Nord, je suis le Sud, je suis l’Est et je suis l’Ouest. Je suis Zlatan Ibrahimovic”. Une réponse donnée à l’agenda scolaire italien nommé Smemoranda, qui lui demandait d’expliquer son parcours de footballeur en 2009.

Quand il évoque ses lectures : “Ma biographie, c’est seulement le deuxième livre que je lis de toute ma vie”.

Pour chambrer ses adversaires :

Quand John Carew, l’ancien attaquant norvégien de l’Olympique Lyonnais, déclare que les dribbles d’Ibrahimovic sont inutiles. Zlatan lui répond en ces termes : “Ce que John Carew fait avec un ballon, je le fais avec une orange”.

Quand il est questionné sur son “flip flap” infligé au défenseur suisse de Liverpool Stéphane Henchoz lors d’une rencontre entre l’Ajax et les Reds : “D’abord je suis allé à gauche, lui aussi. Puis je suis allé à droite, lui aussi. Puis je suis retourné à gauche, et lui s’est acheté un hot dog.”

Le dribble en question :

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Ou encore quand il parle de sa philosophie de jeu : “J’aime humilier mon adversaire, ça fait partie de ma conception du jeu”.

Pour parler famille :

Quand un journaliste lui parle de ses fiançailles avec sa femme Helena Sager, l’échange est savoureux : “Journaliste : Qu’est ce que votre femme a eu pour vos fiançailles ? ; Réponse d’Ibrahimovic  : Elle a eu Zlatan !”.

Quand il lui est demandé si sa femme est un soutien pour lui au quotidien dans son métier : “Elle n’a rien à voir avec mon football. C’est ma femme, et elle reste à la maison pour s’occuper de mes enfants. C’est la seule chose dont j’ai besoin”.

Quand il évoque sa descendance : “J’ai deux fils. Les vrais hommes font des hommes”.

Pour parler de Paris et des supporters du PSG :

Quand il débarque à Paris (il loge à l’hôtel Crillon) et cherche encore un appartement : “A défaut d’acheter l’hôtel, je vais habiter dans la Tour Eiffel et me rendre aux entraînements en parachute”.

Quand le PSG subit quelques sifflets du Parc des Princes  après une difficile victoire face à Nancy : “C’est étrange au regard de ce qu’ils avaient par le passé. Parce qu’avant, ils n’avaient rien”.

Quand il parle des femmes des autres :

Quand il arrive en conférence de presse avec des griffures sur le visage, un journaliste lui demande : “Zlatan, vous avez des griffures sur le visage. Que vous est-il arrivé ?” Réponse : “Je ne sais pas, demande à ta femme”.

Quand il reçoit une standing-ovation à l’extérieur :

Après avoir été acclamé par le public de Brest suite à un triplé inscrit : “Avec un triplé, je ne pouvais pas mieux commencer 2014. La standing-ovation ? C’était facile, ils n’étaient que 500 dans les tribunes. Mais, oui je suis content”. 

En 2015, Zlatan n’a pas fini de nous faire rêver, que ce soit sur le terrain ou en dehors.